Chez Eclipso Bordeaux
- On aime : une expérience de réalité virtuelle bluffante et très esthétique. Une immersion incroyable dans le monde d’avant !
- Âge : conseillé à partir de 11 ans (interdit pour les moins de 8 ans)
- Taille min. : 1m30
- Durée : prévoir 1h (45 min de visite)
- Quand : jusqu’au 29 décembre 2025
- Tarif : à partir de 25 euros
- Où : 19 Rue Saint-Sernin, 33000 Bordeaux (centre commercial Meriadeck)
Une expédition passionnante et très pédagogique
- “Mondes disparus” c’est une belle découverte pédagogique à faire en famille et accessible à tous
- Grâce à cette technologie et à une narration sympa et pleine d’humour, le message de cette expérience touchera sans aucun doute les plus jeunes
- La réalité virtuelle nous permet la traversée des époques les plus anciennes et d’approcher le monde dans sa diversité
- En évoquant les bouleversements de la terre, on aborde la fragilité de l’être humain, du monde végétal et animal
Il était une fois, il y a 3,5 millions d’années …
- Après le Jardin des Plantes à Paris, c’est à Bordeaux que s’est installée cette nouvelle expérience immersive
- On part découvrir le monde tel qu’il était il y a 3,5 millions d’années jusqu’à nos jours grâce à la réalité virtuelle (VR)
- Muni de notre casque, nous suivons la chercheuse Charlie et Darwin son robot, deux avatars très calés sur le sujet et venus de l’an 2223
- On vit de drôles de sensations lorsqu’on traverse ces paléo-paysages comme les appellent les spécialistes
- Marcher dans le désert, on se perche sur la canopée d’une forêt tropicale, on enjambe un sol d’il y a -314 millions d’années qui grouille de d’étranges bestioles …
- On croise la route de dinosaures qui broutent, des reptiles marins ou des mille-pattes géants
- Grâce à cette technologie, les scientifiques du Muséum ont pu restituer en image et en son avec beaucoup d’humour le résultat de leurs découvertes
- L’expédition se finit en 2023 au milieu des girafes, dans notre monde actuel
- Mais nos compagnons de route qui viennent de 2223 sont bien surpris de les voir car d’où ils viennent, il n’y en plus …